Soirée torride vendredi soir...
Beaucoup de monde, une atmosphère festive,
tous les ingrédients pour y passer une excellente soirée étaient
présents pour cet événement.


Une arrivée un peu plus tardive au bal des 8 Wiches dont la salle Coluche en surabondance a également comblé de joie Le Juste Imaginum, l'un des plus beau bal auxquels il a participé...
Malgré l'obsession du moment lors de sa présence au concert de nos joyeux
drilles une seule chose a captivé son attention pendant une longue
période, faisant abstraction de tout ce qui pouvait l’entourer Le Juste Imaginum été momentanément absent.
Imaginez
l’une des choses que vous appréciez et désirez le plus, quelque chose
d’irrésistible pour laquelle vous n’auriez aucune volonté de vouloir y
résister, tel l’un des mets présentés des plus savoureux, d’une onctuosité, enrobé
d’une robe, d’une essence et d’une délicatesse parfumée à souhait,
enfin raccourcison, d’une parfaite harmonie.

Là
vous le savez, vous en êtes même persuadé que c’est le moment d’éteindre
la lumière, oui cette fameuse clarté qui vous empêche ostensiblement de
tendre la main en direction du plateau qui soutient cette chose tant
désirée garnie d’une sensualité si difficile de ne pas vouloir la
savourer. Une sensation qui exalte les délices les plus improbables qui
sont en soi mais qui aussi exacerbe les tourments les plus cruels de
notre conscience pour laquelle pourtant, beaucoup d’invités sont prêts à
en « mourir » de plaisir...
Ce
mets si délicat, souvent éphémère, celui qui comble votre nuit d’une
ivresse infinie surpassant toute autre volupté fut malheureusement
accompagnée par les tourments perpétuels qui sont en lui, ce mets propre
à rallumer quelques passions éteintes tellement convoitées des regards
furtifs vous l’envient d’avantage.
A
vouloir rallumer les passions éteintes du délice infini du désir, celui
qui nous donne le vertige et qui par moments, rien qu’à la pensé qui
vous effleure devient vite un supplice il est tant de se rappeler les
dangers passés...
Aller,
restons en là ! Cela doit être la crise de la cinquantaine et ces états
d'âmes qui approchent.
Toutes les autres relations aventurières hors la
saveur de ma "religieuse" (gâteau), oui nous restons toujours
dans les mets, en cette période quelque qu’en soit les célestes délices
partagés auraient fini par me détourner de ma tâche !
N'y a-t-il pas aussi bien des délices à se souvenir des plaisirs évanouis ? N'est-ce pas en jouir deux fois ? Hé ! oui, c’est aussi cela le carnaval...
Citation : "Au temps du carnaval, l'homme se met sur son masque un visage de carton." Xavier Forneret
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