
BIOGRAPHIE

Autodidacte, dès son adolescence, il parvient en 1986 à devenir photographe communal. Tout désigné pour ce poste offert par la municipalité.
Propulsé par le destin cela lui permet de vivre des moments intenses,
certes fatigants, mais riches d'enseignements et de passion dans le
domaine de l'image, notamment lors de l'organisation et de la
préparation du Festival International de la Photographie « Focale »
accompagné de son « alter ego » dans ce périple dont l'origine a débuté grâce au premier salon d'auteur organisé par l'Atelier Nord Image.
Nous notons sa présence dans plusieurs associations similaires
notamment comme l'un des membres-fondateurs de l'association L'œil du
Hérisson. Il en reste de nos jours qu'un simple adhérent. « Le juste Imaginum
» à explorer les domaines les plus variés de la photographie des
paysages aux portraits en passant par les natures mortes et les essais
photographiques en tout genre et aux talents aussi divers qu'inattendus
qu'il a exprimés depuis. Allant de la photographie Noir et Blanc à la photographie en couleurs « Le Juste Imaginum
» a pour but de démontrer simplement sa créativité, son regard sur la
société, qu'il transpose à travers ses œuvres photographiques en les
partageants avec un large public.
En 2008
des circonstances externes l'écarte en grande partie malheureusement de
sa passion pour l'image, il en reste une cicatrice profonde et pérenne. N'acceptant pas l'échec, ne pouvant concevoir un avenir isolé et sans images, il continue son périple. Ayant le souci d'œuvrer dans le respect de chacun. Entre pratiques collectives et trajectoires individuelles « Le Juste Imaginum
» en abordant le problème à bras le corps des nouvelles technologies
offert notamment par l'informatique et les prises de vues
photographiques numériques, évolue irrémédiablement vers un espace des
plus libérateur, la plupart des photographes, ayant périodiquement des
contradictions et des paradoxes sur la question faute d'avoir entrepris
ne serait-ce que l'amorce d'un examen critique de leur situation
disparaîtront à terme.
Comment s'y prendre pour écrire l'histoire d'une infinité d'instantanés photographiques ?
Quelle logique adopter, lorsque les jugements de valeur ne s'imposent
plus comme des principes appropriés à la pratique de la photographie ?
Marquer cet instant, pour le futur, tout en datant le passé en
immobilisant le présent reste pour lui une possibilité remarquable qui
lui a été offerte par de nombreux précurseurs il y a plus de 150 ans
afin de pouvoir capturer ces moments exceptionnels.
La photographie se vit à toute heure de la journée, vouloir
photographier une scène qui l'attire, une atmosphère, un mouvement ou
des personnages attachant devient pour lui une obsession.
Les reportages photographiques proposés sur ce site évoquent souvent,
en seulement quelques secondes, ce qui nous entoure, une scène, une
vision surprenante, un regard curieux, voir complice, qui pendant cet
instant succinct, usuellement imperceptible pour beaucoup d'entre nous
peut et doit déclencher le réflexe du photographe pour conserver ce
moment. Cet instant reste souvent un bref
moment de circonstances favorables et de complicité entre le photographe
et les personnes photographiées, d'où reste, fréquemment des parcelles
d'émotions, voir de complicités, et même quelquefois d'amitié.
C'est pour immortaliser ce moment d'intimité que ces photographies existent.
C'est afin d'immortaliser cet instant du présent, essentiellement
éphémère, que la photographie permet de le convertir pour l'éternité
enregistrant des traces qui pourront être utiles pour le futur. Autant d'instants d'éternité qu'il ne pourrait conserver dans sa mémoire. Chacune de ces photographies ne peuvent exister que si les personnes qui les regardent osent se raconter eux-mêmes. Cette démarche n'exclut pas pour autant l'émotivité, faire voir et émouvoir, savoir quelques fois montrer l'in-montrable,
le gérer puis l'assimiler n'est pas toujours chose facile, une grande
sensibilité exige souvent une grande retenue de la part du photographe.
Dans chaque situation, le photographe se fait « voyeur », timide de
part nature, inspiré par sa propre histoire, il y cherche une émotion,
un regard, une complicité, chaque fois, pour qu'il puisse capturer dans
cet espace que représente une image cet instant avant qu'il ne s'envole.
C'est dans cette ambiance engendrée de lumière et d'évènements furtifs
qu'il a le sentiment de partager une partie de lui-même, en transposant,
lors d'une prise de vue, un reflet de son histoire vécue, et cela, à
travers l'image des autres. Le Juste Imaginum remercie toutes les âmes de bonne volonté, offrez-lui un instant de votre existence, "Le Juste Imaginum" essayera de l'immortaliser pour l'éternité...
Ayant le souci d’œuvrer dans le respect de chacun. Entre pratiques collectives et trajectoires individuelles « Le Juste Imaginum » en abordant le problème à bras le corps des nouvelles technologies offert notamment par l’informatique et les prises de vues photographiques numériques, évolue irrémédiablement vers un espace des plus libérateur, la plupart des photographes, ayant périodiquement des contradictions et des paradoxes sur la question faute d’avoir entrepris ne serait-ce que l’amorce d’un examen critique de leur situation disparaîtront à terme.