Lettre à un être aimé
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| Gaston Tirmarche |
Voici maintenant cinq années que tu nous as quittés si soudainement dans ta soixante dix huit ème années, quel bouleversement dans notre vie. Cette cicatrice est loin d’être refermée et celle-ci restera pérenne dans nos souvenirs, chaque jour nos pensées se dirigent vers notre cœur, nous songeons fortement à toi.
Tu resteras toujours dans nos pensées et notre mémoire ne faiblira pas, accueillant et chaleureux, toujours disponible pour tes concitoyens et ta famille. Tu nous manques et la privatisation de ton existence auprès des tient a laissé un vide dans nos cœurs. Tu étais un homme d’un genre bien et ta chaleureuse présence donnait un sens à notre vie.
Tu as vécu comme tu l’avais souhaité, Maire, oui, tu l’as était pendant de longues années de 1959 à 1995. Le 26 octobre prochain nous commémoreront ensemble et à tes côtés notre devoir de mémoire. Continue d’être notre ange gardien...
Dieu a voulu que le temps qui coule dans la mémoire des hommes use lentement les souvenirs ; et c'est la raison pour laquelle les hommes perdent la mémoire. [Roch Carrier]
Tu as vécu comme tu l’avais souhaité, Maire, oui, tu l’as était pendant de longues années de 1959 à 1995. Le 26 octobre prochain nous commémoreront ensemble et à tes côtés notre devoir de mémoire. Continue d’être notre ange gardien...
Dieu a voulu que le temps qui coule dans la mémoire des hommes use lentement les souvenirs ; et c'est la raison pour laquelle les hommes perdent la mémoire. [Roch Carrier]
