


Le carnaval est l’occasion de rompre pendant les trois mois concernés de décompresser du rythme quotidien. Au carnaval, il y a une large place aux interdits. Dans les chansons, de la grivoiserie, et dont l'alcool omniprésent grise parfois certains esprits.
Dès samedi à l’aube de l’avant bande des Trois Joyeuses coudekerquoises la troupe d’AlainAlaïE et les Bas Résilles ont également adopté en l’honneur de l’établissement l’Oranger jupes et bas-résilles, perruques, bijoux, et faux cil ainsi que leurs chapeaux à fleurs lors de la chapelle privée organisée par le patron du café L’Oranger dans une atmosphère « déchirante », heureusement tous les ingrédients étaient omniprésents pour concrétiser cette euphorie générale avec de longue conversation en fin de soirée.Trop tard pour le bal des Optimistes...
Là après seulement deux bonnes heures de sommeil on découvre le manteau neigeux qui s’est abattu tout au long de la nuit. Une avant bande dans la froideur hivernale ayant fait reculée plus d’un carnavaleux. Heureusement que celle-ci a pu s’étoffer lors du parcours. C’est à l’Espace Jean Vilar puis à la chapelle des indépendants et des Sapeurs Pompiers que « Le Juste Imaginum » a retrouvé ceux-ci, bien au chaud tenant quelques fois dans les deux mains de quoi se réchauffer.
On fantasme beaucoup sur le carnaval ce n’est pas sans raison, lors de cette journée, nos carnavaleux ont comme par envoûtement comblé les attentent de leurs hôtes. Une fête garnie de charme et de volupté et des carnavaleux trépignant sur des rythmes endiablés, une prestation de nos joyeux drilles à l’espace Jean Vilar déguisés et grimés comme je les aime, chantant les chansons usuelles du troisième disque « Quel Podingue ! » de nos Bas Résilles reste un spectacle inoubliable.

merci franck,
RépondreSupprimerjolies photos